• 10.03.2022 21:15
  • 11+12.03.2022 21:00
Chapelle, 50’

Dans le cadre de Brus­sels, dance !

D’inspiration dada et au-delà de toute convention, la nouvelle création d’Ayelen Parolin fait le pied de nez au sérieux de notre temps. La chorégraphe lance trois interprètes dans un étonnant jeu de rythme et de construction, à la fois répétitif et toujours mouvant, sans cesse redistribué, restructuré, ré-envisagé.

Un jeu dont l’inachevé et le recommencement seraient les règles de base. Un jeu-labyrinthe. Un jeu musical... sans musique. Où ce sont les danseurs embarqués sur scène qui l’inventent, l’imaginent, la jouent à partir d’un vocabulaire chorégraphique volontairement restreint, économe. À la recherche d’une pulsation vitale. À trois, en complicité, en connivence. Avec la puissance et la sincérité profondément humaine de l’idiot, du naïf, de l’enfant – là où tout est (encore) possible, de l’insensé à l’onirique.

Un pro­jet de :
Aye­len Parolin
Créé et inter­prété par :
Bap­tiste Caza­ux, Piet Defrancq, Daan Jaartsveld
Assis­tante chorégraphique :
Julie Bougard
Créa­tion lumière :
Lau­rence Halloy
Scéno­gra­phie, costumes :
Marie Szer­snovicz
Dra­maturgie :
Olivi­er Hespel
Regard extérieur :
Alessan­dro Bernardeschi
Visuels :
Cécile Bar­raud de Lagerie
Cos­tumes :
Ate­lier du Théâtre de Liège
Pro­duc­tion, dif­fu­sion, administration :
Manon Di Romano
Dif­fu­sion internationale :
Key Per­for­mance
Pro­duc­tion :
RUDA asbl
Copro­duc­tion :
Les Brigit­tines, Charleroi danse, Le Cen­tqua­tre-Paris, Théâtre de Liège, CCN de Tours, MA Scène nationale – Pays de Mont­béliard, DC&J Création
Accueil stu­dio, résidence :
Le Gym­nase CDCN
Avec le sou­tien de :
Fédéra­tion Wal­lonie-Brux­elles, Tax Shel­ter du Gou­verne­ment fédéral de Bel­gique et Inver Tax Shelter
Aye­len Parolin est accueil­lie en com­pagnon­nage au :
Théâtre de Liège (2018−2022)
et béné́ficie d’un héberge­ment admin­is­tratif à :
Charleroi danse/​La Raffinerie
Aye­len Parolin est artiste asso­ciée au :
Théâtre Nation­al Wal­lonie-Brux­elles à par­tir de 2022
Pho­tos :
François Decler­cq